Ma fête de la musique en Neuvice

Je me demande combien de fois j’ai déjà joué au El Senõr Duck Napo Estaminet. Je pense vous avoir dit autant de fois que j’aimais cet lieu. L’endroit où tu peux aller boire une bonne bière quand t’en as marre de traîner dans les bistrots pour te taper une mousse fadasse. Et cette fois-ci c’est la fête de la musique en Neuvice !

En avant toute 

Faire de la musique en ayant un « vrai boulot » (comme disent les gens) c’est super. Mais parfois on se retrouve avant un concert à quitter les collègues au bord de la crise de nerf pour prendre un train entre Bruxelles et la fin de sa vie. Mais en tombant par hasard sur une photo du chanteur d’Ykons en interview à Bruxelles avant son concert du soir à Spa, je me dis que quoiqu’on fasse (toutes proportions gardées) on court toujours partout. La vie n’avance pas quand on reste le cul sur sa chaise. Et après la fin de sa vie, la vie continue. Show will go on !

Fête de la musique 2018 en Neuvice

Fête de la musique 2018 en Neuvice

Neuvice nous voilà !

Heureusement tout est prêt, sauf moi. J’embarque guitare, ukulele et sono avec Lovely Roadie, direction le centre-ville. Après un premier tour à la recherche d’une place de parking qui se solde par un échec on décide de déposer la voiture dans un parking payant. Il faudra marcher 500 m avec le matos pour rejoindre la rue Neuvice. Merci ma roadie pour la patience, le sourire … et l’huile de coude. Malheureusement elle ne peut pas rester, il y a la marmaille à marmailler.

Fête de la musique 2018 en Neuvice

Fête de la musique 2018 en Neuvice

La rue est en effervescence, la fête de la musique en Neuvice prend des air de petit 15 août, avec des terrasses et des animations un peu partout. Hier is het feestje !  Le bar à l’extérieur bat son plein.

Fête de la musique 2018 en Neuvice

Fête de la musique 2018 en Neuvice

Soundcheck

Soirée de premières. Premier concert avec mon nouveu pedalboard, sur lequel trônent désormais ma reverb Boss RV-6 et mon TC-Helicon Mic Mechanic. La reverb de mon stagepass Yamaha peut dépanner, mais ça n’a quand même pas grand chose à voir avec des effets plus sérieux. Premier concert barbu aussi, mais c’est un détail.

Bonne nouvelle, il y a moins de cartons entreposés sur la scène que la dernière fois et j’ai réduit la quantité de matos avec un pedalboard plus petit. Du coup la scène me paraît plus grande. Le soundcheck se passe vite et bien. J’ai prévu mes in-ears au cas où le brouhaha m’empêcherait de me focaliser.

Fête de la musique 2018 en Neuvice

Fête de la musique 2018 en Neuvice

Le concert

Le concert débute comme toujours par « Have a beer », un morceau qui est quasiment né au Senõr Duck. Un morceau qui m’évoque les amitiés indéfectibles nées et nourries autour d’un bon verre.

Pendant les deux trois premiers morceaux, je me dis que c’est dommage que la musique de la rue passe aussi fort dans le bistrot. Un léger fond musical joue les intrus. Tout à coup, l’illumination : c’est la musique du bar qu’on a oublié de couper. Mais à l’Estaminet, la musique ne va jamais trop fort pour permettre de se parler sans devoir se hurler dessus. Du coup il a fallu un petit moment pour comprendre ce qui se passait.

Il y a un peu  moins de monde que la fois passée, cette fois je ne me fais pas bousculer par des étudiants bourrés. Ca me manquerait presque. 🙂 

Fête de la musique 2018 en Neuvice

Fête de la musique 2018 en Neuvice

Le concert se passe en deux sets comme d’habitude. Les gens ont l’air contents, je vois des sourires et des regards complices. J’en profite pour tester quelques nouveaux morceaux. Je suis plutôt content du son, surtout pour la voix qui passe bien mieux avec le Mic Mechanic. Second set sans histoires, à part un petit trou de mémoire, vite oublié (haha !).

Fin du concert et démontage. J’aurais bien aimé que ma Lovely Roadie reste prendre un verre, mais j’essuie un refus. J’ai droit à un taxi, et c’est tout. Je me contente d’une bière avant de charger l’auto pour filer dans la nuit. Il ne me reste plus qu’à finir mon fut de Jupiler à la maison, tout seul, na ! (Il ne restait qu’une bière dedans).

La semaine prochaine, je vais au Bar à Goûts à Jamoigne !

Mon pense-bête réseaux sociaux pour couvrir un événement

Il y a quelques jours quelqu’un m’a demandé une liste d’actions types pour couvrir un événement sur les réseaux sociaux. Pour pas mal de monde ce sera de l’enfonçage de portes-ouvertes, déso, pas déso. J’ai dressé rapidement une liste des choses que « moi » j’essayerais de faire sur Twitter et Facebook ( … et Instagram). J’insiste sur le « moi » parce que je ne suis pas un pro de la chose et je ne suis même pas sûr de faire tout ce que je recommande.  Ce sont des suggestions, évidemment. L’idée n’est pas de « tout » faire. 

Le matos mininum pour les réseaux sociaux

Le matos minium pour les réseaux sociaux

Le storytelling est mort, enfin il paraît

D’après les marques, le storytelling est mort, cette façon de partager du contenu est datée.  Pourtant, je pense que pour un artiste, ouvrir une porte sur son vécu reste intéressant. Cela permet à ses fans de partager la passion qui l’habite.

La différence c’est que le storytelling des marques est souvent un joli conte en sucre glace. Se faire pousser 30 secondes de pré-roll vidéo d’une nana en tenue comfy-chaussettes caressant son chat gris en tapotant un mac devant un thé fumant pour une histoire vaguement inspirante a peut-être fait son temps. Pour le musicien, ce n’est pas une histoire, c’est une expérience de vie. C’est de la sueur, des rires, parfois de la douleur et des larmes. Les aventures du musicien à pied d’œuvre sont parfois mises en scène, mais réelles.  C’est une manière de confronter la vision de l’artiste avec l’expérience vécue par son public. Voir le champ « public » et le contrechamp de l’artiste permet d’appréhender la vision globale via les réseaux sociaux.

Les partages de l’artiste sur les réseaux sociaux sont une occasion pour le public de participer à l’expérience, par exemple en commentant un concert ou en s’identifiant dans un stage-selfie.

Quels outils, quels réseaux sociaux ?

La photo et la vidéo restent évidemment les outils rois pour s’immerger dans une expérience via les réseaux sociaux. Le son n’est pas à négliger, mais une bonne anecdote fera passer une photo ou une vidéo moyenne. Parfois un petit message texte fera l’affaire, il n’est pas toujours nécessaire de sortir la grosse artillerie. Soyez vrai !

Avec votre « grosse » caméra vidéo ou votre appareil photo « pro » vous risquez d’être dans l’embarras pour transférer les fichiers que vous devrez sans doute compresser ou redimensionner. On est parfois mieux servi avec son smartphone si il fait des photos décentes. Soyez agiles ! Par contre pour le son, un micro externe sera souvent utile pour donne un son correct.

Pensez à l’histoire que racontent les photos. Soyez attentif a ce que tout soit dans le cadre ou dehors (mains coupées, têtes, textes tronqués) si possible. Parfois il faut anticiper où on se place, et se déplacer pour choper « la » photo. La photo et le message peuvent parfois être pris à des moments différents. Le sujet pourra être banal si la photo est originale. 

Pour les réseaux sociaux à privilégier, je n’en listerai pas,  allez où votre public est. Faire passer les gens d’un réseau à un autre pour vos beaux yeux ne marchera pas, ou mal. N’hésitez pas à poster à plusieurs endroits, mais adaptez le contenu à sa destination.

Pour les outils à emporter  je listerais un smartphone, le programme de l’événement, un carnet, de quoi écrire, une  batterie de secours, un chargeur et des cartes de visites mentionnant vos comptes sur les réseaux sociaux. Un bout de gaffer pour fixer un truc sur un machin ne fait jamais de tort pour une petite mise en scène minute.

Comment se préparer ?

Quand on participe à un événement d’une certaine taille, il est possible d’anticiper pas mal de choses. Un petit coup d’oeil sur le programme pour repérer les éléments essentiels et garantir une bonne préparation. Cela facilitera les choses sur place quand le temps sera compté. Identifier le nom et l’orthographe exacte de l’événement, de l’organisateur, du lieu. Identifiez et suivez les comptes pertinents sur tous les réseaux sociaux. Repérez les participants et les partenaires. Vérifiez les éventuels hashtags officiels et leurs variantes. Exemple : #truc #truc2018 #truc18.

Perso je prépare des brouillons de messages contenant les hashtags minimums nécessaires que je peux ainsi rapidement dupliquer. 

Essayez d’avoir une longueur d’avance (avec le programme et des idées de cette liste). Avoir un ou deux posts de réserve (backstage, informel, humour, recontextualisation) est utile pour boucher les creux. C’est bien de créer un rythme de croisière pour poster régulièrement et fidéliser en créant une attente.

Quels moments ?

Voyage – départ, trajet

Images :

  • Valise
  • kit de survie : pluie, bikini, etc
  • Valises sur le quai
  • Billets avec destination
  • Panneau d’horaires
  • Vue par la fenêtre du moyen de transport
  • Doigt sur une carte

Message : en route, se réjouir de rencontrer d’autres acteurs sur le sujet, anticipation

Voyage – Arrivée

Images:

  • Affiches, banner, flyer qui traîne
  • Vue typique, paysage, vue d’ensemble de l’endroit
  • Selfie devant le lieu de l’organisation
  • Photo du badge d’ID (en cachant le code barre éventuel avec le pouce)

Message : in da place, … nous voilà, au boulot, les choses sérieuses commencent, prêt 

Sur place – pré-évènement

Images :

  • Photos d’ambiance : lieu, file, foule, débats, meet and greet au catering
  • Vidéos de rencontres sympa, petites capsules de contextualisation et de teasing de ce qui va suivre
  • Personnalités connues (en selfie (perso pas fan, trop groupie) … ou non)
  • La bouffe si elle est visuelle et uniquement s’il y a d’autres messages plus pro (ne pas hésiter à polémiquer soft si pas durable ou origine douteuse, lol)
  • Du backstage si pertinent (équipe vidéo en itw, stewards sympas, etc.) – humour ou vues décalées

Message : au boulot, les choses sérieuses commencent, si personnalité intéressante : prendre photo, voir s’il a un compte Tw, le mentionner avec une phrase choc/clé pour l’orthographe des noms regardez le programme à l’avance. Ne pas oublier les #.

Sur place – pré-concert

Images

  • Affiche, horaire, programme
  • Salle vide ou se remplissant
  • photos du merch
  • Montage, soundcheck, backstage
  • teasing vidéo

Message : ça va être à nous, fier d’être arrivés jusque-là, mentionner les partenaires, donner rendez-vous

Concert et after-concert:

Images

  • Photo du public
  • capture d’ambiance en photo ou vidéo (attention à la qualité !)
  • photo set-list 
  • Belle photo avec le groupe, l’organisateur, des fans, le public en sortie de scène
  • photos du merch

Message : vécu du concert, récit d’ambiance, setlist jouée, surprises et rappels 

Le retour

Images : souvenir, débriefing, teasing du prochain sujet. 

C’est le moment de publier la galerie de photos et le débriefing sur le site et ou Facebook.

Ne soyez pas surpris, ça nécessité d’être en alerte/éveil constant et de faire des choix rapides. C’est du boulot, parfois ingrat ! Mais au bout d’un moment certaines choses deviennent heureusement des réflexes et on finit par être rôdé.

Test : Mic mechanic 2 de Tc-Helicon

Quand on traîne sa bosse en solo comme moi, on n’a pas d’ingé son. Les reverbs intégrées aux petites table de mixage ou aux sonos portables rendent souvent service, mais elles ne flattent pas vraiment l’oreille. Depuis quelque temps je goûte à la joie de remplacer la réverbération intégrée à mon Yamaha Stagepass 400i par les reverbs de ma pédale Boss RV-6. Avec plus de possibilités de réglage, autant vous dire qu’il n’y a pas photo. Mais il restait le problème de la voix. Je trouvais les chanteurs sans ingé son mal lotis jusqu’à ce que je découvre la pédale Mic Mechanic de TC-Helicon

Évidemment, rien ne remplace la patte d’un ingé son. Déjà rien que parce que lui n’a pas ses deux oreilles pile au-dessus de la bouche qui chante. Les outils tout-en-un avec des presets ne font pas de miracles. Mais si on peut gratter quelques carats sans se compliquer la vie, je prends. 

Quelqu’un m’avait fait remarquer dernièrement que ce serait mieux de pouvoir couper la réverb pour être plus intelligible quand je parle entre les morceaux. Le format pédale semblait donc indiqué. Pour garder un setup simple, je cherchais une pédale de reverb pas trop chère qu’on puisse brancher en XLR sur le trajet du micro. Mais finalement le Mic mechanic en a bien plus que ça sous le capot, sans être suréquipé d’effets qui ne me serviront pas comme l’harmonisation.

La TC-Helicon Mic Mechanic 2

La pédale propose dans un format compact :

  • un echo,
  • une réverbération,
  • une correction d’intonation,
  • un bouton tone qui regroupe un preset d’égalisation, de compression, de de-essing et de gate.
TC-Helicon Mic Mechanic 2

TC-Helicon Mic Mechanic 2

J’avais vu passer la première version de cette pédale, qui me tentait. Mais elle avait quelques défauts de jeunesse. La nouvelle version, la « 2 », corrige ces défauts : on peut l’alimenter par piles ou par du 9 Volts (le premier modèle nécessitait du 12 Volts). On peut régler l’écho et la réverbération séparément. Le bouton de gain qui semblait délicat à ajuster a disparu. Dorénavant le gain est automatique. Un bouton On-Off permet de préserver la batterie.

Premières impressions 

La pédale est belle, la finition sympa, la couleur rouge claquante comme il faut. Tout à l’air solide. De prime abord, je trouve les boutons un peu trop souples à tourner. Cela facilite les réglages fins, surtout que les courses pour chaque effet sont courtes. Mais c’est peut être une source d’accidents si un câble ou un pied passe par là.

TC-Helicon Mic Mechanic 2

TC-Helicon Mic Mechanic 2

Le défaut des démos de TC-Helicon, c’est qu’ils prennent des super-chanteurs pour montrer les capacités de leur pédale. Compliqué d’imaginer ce que ça donnera avec ma voix de chanteur qui prend la scène pour sa salle de bain et vice-versa. 

En gros, mon idée c’est de poser la pédale, de faire les réglages une bonne fois en fonction du lieu, puis de me contenter de la couper pour parler, sans modifier les réglages.

Les effets

Les réverbérations sont toutes belles et praticables quand on reste raisonnable. Pour être honnête, je ne pensais pas utiliser l’écho. Finalement, je me retrouve à ajouter un poil d’écho en fond en plus de la réverbération. Il est possible de modifier la fréquence de répétition de l’écho via une fonction TAP de la pédale pour l’assortir au tempo d’un morceau. La fréquence n’est pas sauvegardée quand on éteint la pédale.

Je ne pensais pas me servir de la correction d’intonation non plus. Avec le bouton entre 9 heures et midi, ça ne fait pas de mal, sans massacrer le son. On est loin de l’auto-tune à la Cher ou façon rappeur, même en le poussant à fond, là où il devient un peu trop flagrant. La correction est autochromatique. En gros, il ramène au demi ton le plus proche. Pas de miracle ici, il faut quand même savoir chanter un minimum. La correction ne vous sauvera pas d’un gros faux pas. Si vous voulez chanter avec une légère tension harmonique, ça va vous compliquer la vie. Ah oui, dernier point, la pédale est calibrée en 440 Hz et je ne sais pas si on peut ajuster cet accordage.

Le bouton « bon-po-tot (*) »  

(*) bon pour tout, en wallon.

La fonction « Tone », c’est le mystérieux bouton magique. Il colle un preset d’égalisation, de compression, de de-essing et de gate sur la voix. Ca fait du bien au placement de ma voix par rapport à l’instrument. Ca donne ce petit coup de pshit qui fait briller ma voix un peu plus. Il y a deux presets, normal et moins brillant. On passe d’un à l’autre en tenant la touche tone enfoncée pour appuyer sur la pédale. Sans surprise, moins brillant me convient mieux. Bon, c’est pas miraculeux, mais c’est mieux. Il y a toujours mieux. Mais pour avoir le contrôle sur tous les paramètres, c’est le double du prix, au minimum.

Le panneau arrière va à l’essentiel. Un bouton On-Off, un connecteur USB pour les mises à jour (et peut-être la possibilité de changer les presets dans le futur ?), XLR OUT et IN.

TC-Helicon Mic Mechanic 2

TC-Helicon Mic Mechanic 2

Je vais rapidement équiper un petit pedalboard Pedaltrain Nano avec mon essentiel : accordeur, reverb, le Mic Mechanic 2 et mon chrono. Propre et net !

Pedaltrain Nano

Pedaltrain Nano

Je me réjouis de tester tout ça en live. Venez l’écouter au Senor Duck ou au Bar à Goûts.

Ca vaut un bon 9 sur mon échelle de piments !

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Achats et tests de matériel 2017, la suite de la rétrospective

Voici la suite des retours sur expérience de mes achats de 2017. Toujours dans une idée de transparence, je repasse mes tests en revue pour voir si mon avis a changé à l’usage. Suis-je toujours aussi content quelques mois plus tard ?

Caméra Lumix FZ-300

Panasonic Lumix DMC-FZ300

Panasonic Lumix DMC-FZ300

J’en suis content, surtout pour les vidéos. En photo le rendu ne m’a jamais enthousiasmé. Le Panasonic Lumix DMC-FZ300 m’a semblé un bon candidat pour monter d’une marche en direction de la vérité sans me brûler les ailes aux sirènes de l’achat de matériel.

Mais il ne faut pas hésiter à mettre un max d’éclairage pour soulager le capteur. Évidemment maintenant que je connais le FZ-300, un modèle plus évolué  pour la vidéo comme le FZ-2000 me fait de l’oeil. Jamais content. Le test.

 

Microphone Rode Videomic

Rode Videomicro

Rode Videomicro

La bonne petite surprise. Ce micro va vraiment très bien, surtout pour les voix. Même dans un environnement légèrement bruyant il tire son épingle du jeu.

Dans la griffe flash de l’appareil ou perché avec un câble plus long, il fait vraiment bien son boulot. J’en suis tellement content que j’utilise rarement mon micro cravate dont la mise en oeuvre est un peu plus compliquée. Le comparatif des micros.

 

 

Logiciel de correction acoustique Ik Multimedia Arc 2.5

IK Multimedia ARC 2.5 : correction

IK Multimedia ARC 2.5 : correction

Dans mon « studio » les conditions d’écoute sont loin d’être optimales.

Un petit coup d’égalisation pour remettre les choses à plat est plus qu’utile. Évidemment, ce n’est pas la panacée universelle. Mais le logiciel me montre quelques problèmes et permet de rééquilibrer mon bas-médium. le test est ici et le produit est recommandé à tous ceux qui n’ont pas besoin ou envie ou les moyens de faire mieux..

Le test et le verdict : recommandé 

Porte médiator Road IZ

Road-IZ : porte médiator en cuir

Road-IZ : porte médiator en cuir

Un chouette petit goodies à offrir. Sympa et avec une très belle finition.

Personnellement, je ne m’en sers pas souvent, car je joue avec des onglets, mais je l’aime bien et il trône sur mon bureau.

Le test.

 

 

 

Câble : American stage cable

D'Addario Planet Waves American stage circuit breaker cable

D’Addario Planet Waves American stage circuit breaker cable

Je les adore. Que dire d’un câble ? L’excitation d’un nouveau câble ne survit pas à sa première utilisation.  Mais le câble lui-même peut durer des années.

Quand un câble est bon, on le branche et on l’oublie.  

Mon avis.

 

 

 

 

Logiciel d’édition de tablature : Guitar Pro 7

Arobas Guitar Pro 7

Arobas Guitar Pro 7

Une version épurée et efficace  du célèbre éditeur de tablature. 

En tant qu’utilisateur de la version 6, la mise à jour me semblait cohérente. La version 7 améliore d’innombrables petits détails. La réorganisation de l’interface est un vrai plaisir. Ce travail du retour à l’essentiel semble un bon pas vers la maturité. 

Le test.

 

Logiciel de traitement audio/mastering : T-Racks 5

IK Multimedia T-Racks 5

IK Multimedia T-Racks 5

Une solution complète pour le mixage et le mastering. Beaucoup de plugins utiles, soit dans l’application standalone, soit en plugin individuel dans mon DAW.

Premières impressions.

 

 

 

Pédale de réverberation : Boss RV-6

Boss RV-6

Boss RV-6

J’ai mené un match intense entre la Boss et la Digitech Polara . Un match intense qu’il aura fallu trancher en deux manches.

La Boss l’emporte d’une courte longueur pour des raisons liées à une certaine forme de maturité. Les modes utilisables un peu plus nombreux et le son un poil plus naturel a primé sur la nouveauté et un mode hall superbe, mais peut-être un peu surjoué.

 

Horloge pour pedalboard : DS engineering Chronograph

DS Engineering Chronograph

DS Engineering Chronograph

L’ovni, le gadget ultime. Pourtant il m’a déjà bien rendu service. Lors du concert dans la yourte, je voulais garder un œil sur le temps de jeu pour équilibrer la durée des contes et des morceaux de guitare. Mission réussie.

Le déballage. 

 

 

 

 

Les achats de 2017

Seconde partie

Première partie