Le calendrier de l’Avent pour guitaristes

L’idée originale : le calendrier de l’avent pour guitaristes

Alors que les fêtes de fin d’année approchent, la tradition du calendrier de l’avent reste un incontournable pour petits et grands. Cependant, un concept semble encore manquer sur le marché : le calendrier de l’avent dédié aux guitaristes acoustiques. J’avais déjà listé des idées de cadeaux pour guitaristes ici, ici et ici.

Imaginez un calendrier de l’avent où chaque petite case renferme une surprise musicale. Plutôt que des chocolats ou des jouets, chaque jour révélerait un nouvel accessoire ou un outil. Cette idée non seulement raviverait la passion des musiciens pendant la période des fêtes, mais offrirait également des éléments pratiques pour améliorer leur jeu.

un calendrier de l'Avent pour guitariste

un calendrier de l’avent pour guitariste

Ce que pourrait contenir un calendrier de l’avent pour guitaristes :

  • Médiators : avec différentes épaisseurs et matériaux pour varier les sensations.
  • Cordes de guitare : des cordes de rechange pour être prêt en toutes circonstances.
  • Mini partitions de Noël : des morceaux de Noël faciles à apprendre pour jouer en famille ou entre amis.
  • Accessoires : comme des capodastres, des accordeurs ou des nettoyants pour guitare.
  • Leçons et astuces : des conseils techniques ou des astuces pour améliorer son jeu.
  • Échantillons de produits : comme des huiles pour le manche ou des nettoyants pour les cordes.

Une bonne idée pour des tas de raisons

  • Renforcement de la passion : un calendrier de l’avent pour guitaristes pourrait transformer la période des fêtes en une opportunité d’explorer et de renforcer leur passion pour la musique. Chaque jour apporterait une nouvelle surprise, qu’il s’agisse d’un accessoire utile ou d’un nouveau défi musical.
  • Pratique et plaisir : les guitaristes pourraient découvrir des objets et outils pratiques, comme des médiators, des cordes de guitare ou même des partitions de chansons festives. Ce mélange de plaisir et de pratique encouragerait une pratique quotidienne et rendrait l’apprentissage de nouvelles compétences plus amusant.
  • Cadeaux utiles et surprenants : contrairement aux calendriers de l’avent traditionnels remplis de chocolats ou de jouets, un calendrier pour guitaristes pourrait offrir des cadeaux réellement utiles qui enrichiraient leur expérience musicale. Imaginez trouver un accordeur de poche ou un petit guide de techniques de jeu caché derrière une case !
  • Connexion émotionnelle : chaque petite surprise pourrait créer une connexion émotionnelle particulière, offrant aux guitaristes une façon unique de se préparer pour les fêtes tout en approfondissant leur lien avec la musique. Cela pourrait également servir de source d’inspiration pour leurs propres compositions ou performances.
  • Innovation et originalité : un tel calendrier serait une innovation sur le marché, offrant un produit original qui pourrait attirer de nombreux amateurs de musique. Ce serait aussi un excellent cadeau pour les musiciens de tous niveaux, des débutants aux professionnels.

Un calendrier couteux ?

Mais, quand je compose mon propre calendrier de l’avent, je me rends vite compte que le prix pourrait rapidement devenir prohibitif. Le calendrier de médiators me semble en tout cas une bonne idée à exploiter. Avec quelques produits et accessoires d’entretien. L’important est d’éviter d’offrir des accessoires peu qualitatifs qui iront rejoindre les montagnes de déchets qui polluent notre environnement.

Une alternative ? La chaussette de Noël de Martin guitars

Ce que j’ai trouvé de plus approchant pour un fan de guitare acoustique, c’est la chaussette de Noël de Martin guitars.  Dans la plus pure tradition des chaussettes à pendre à la cheminée, avec un flocage de la marque. (vendue sous le nom de Martin Guitars Holiday Accessory Pack chez Thomann)

Chaussette de Noël - Martin guitars

Chaussette de Noël – Martin guitars

Que contient-elle ? 

  • Authentic acoustic guitar strings value 3-pack custom light MA535 
  • Manivelle pour cordes
  • Extracteur de pins/chevilles
  • une pince coupe-cordes
  • un outil pour mesurer l’action des cordes
  • un chiffon de nettoyage de guitare LUXE by Martin
  • une chaussette de Noël Martin Guitars

En réalité, j’avais commencé par rechercher une nouvelle pince pour couper les cordes. Mais, j’ai trouvé le pack amusant. De plus j’avais envie de repasser en tirant custom-light, pour améliorer mon contrôle de l’intonation.

En faisant l’addition du prix de produits équivalents, le prix de l’ensemble est très correct. On peut évidemment trouver des produits moins chers pour chaque outil proposé. Mais ici il s’agit d’une version plutôt qualitative de chaque accessoire.

  • Un extracteur de chevilles à 10€
  • Trois jeux de cordes en Custom light à 10 € environ : 25 à 30 €
  • une pince coupante à 15 €
  • une manivelle à 20 €
  • un outil de mesure de l’action des cordes à 27 €
  • une lingette de nettoyage jetable que je considère comme un échantillon sans valeur commerciale
un calendrier de l'Avent pour guitariste

un calendrier de l’avent pour guitariste

Verrons-nous un jour peut-être le calendrier de l’avent pour guitaristes ?

Le calendrier de l’avent pour guitaristes est une idée marrante qui pourrait transformer la période des fêtes en une occasion unique d’explorer et de renforcer sa passion pour la musique. En offrant chaque jour une surprise utile et agréable, un concept qui allie pratique et plaisir, tout en apportant une dimension musicale aux traditions festives.

Que ce soit pour motiver les débutants ou inspirer les professionnels, un calendrier de l’avent pour guitaristes pourrait devenir un incontournable des fêtes. Espérons voir cette idée se concrétiser, apportant joie et créativité à tous les amateurs de guitare.

Korg Beatlab Mini, entraînez votre sens du rythme

On n’a jamais trop de métronomes dans sa vie. J’ai décidé de tester le Korg Beatlab Mini. Ma Lovely Roadie s’est mise à jouer de la vielle à roue et l’instrument a un volume sonore qui nécessite un métronome au volume musclé. Mon regard s’est donc porté naturellement vers les métronomes pour batteurs, batteuses et percussionnistes. Le Beatlab mini propose également un mode « training » – traduit « entraînement » pour les xénoglossophobes. Alors  regardons ce que le Korg Beatlab mini peut offrir ?

Korg Beatlab mini

Korg Beatlab mini

Le Beatlab mini, un métronome bien doté

Le Korg Beatlab mini est un outil précieux pour les batteurs et percussionnistes désireux d’améliorer leur sens du rythme. Ce métronome polyvalent propose une gamme impressionnante de sons, avec des voix humaines et des motifs de batterie réalistes, offrant ainsi une grande flexibilité dans la pratique. Vous pouvez ajuster le tempo de 30 à 300 BPM et spécifier le temps et le rythme individuellement, ce qui le rend adapté à différents styles et niveaux de compétence.

Grâce à un grand écran LCD, vous bénéficiez d’une bonne visibilité, même dans des conditions de faible luminosité. L’écran affiche une aiguille virtuelle et des flèches pour indiquer à quel temps de la mesure on se trouve. 

Le Beatlab mini est aussi équipé d’un haut-parleur intégré et d’une sortie casque, rendant les sessions de pratique agréables et efficaces, que vous soyez seul ou en groupe. Le micro contact inclus permet de détecter les frappes sur un pad ou une caisse claire (ou n’importe quel objet). Le fil du micro est suffisamment long pour pouvoir être commode à installer si vous êtes batteur, batteuses ou percussionniste.

Il permet de générer des notes de référence pour accorder des instruments ou des percussions, mais ne possède pas de fonction accordeur, contrairement à mon Peterson StroboPLUS HDC

Enfin, un petit pied pliant permet de le placer en position redressée sur une table pour travailler. Il fonctionne avec deux piles AAA fournies. 

Korg Beatlab mini

Korg Beatlab mini

Votre sens du rythme sous la loupe

 

L’une de ses fonctionnalités les plus remarquables est sa fonction d’entraînement interactive. Le Beatlab mini détecte et évalue les écarts entre le métronome et les notes que vous jouez, transformant ainsi vos séances de pratique en un jeu stimulant. Évidemment, vous devrez fixer le microphone de contact à une surface qu’il faudra frapper en rythme. Cela ne fonctionnera pas en jouant de la guitare.

Korg Beatlab mini

Korg Beatlab mini

Il offre une rétroaction précise sur votre performance rythmique. On se prend vite au jeu de corriger en temps réel les « too slow » ou « too fast » en « good » puis « perfect-perfect-perfect ». C’est aussi l’occasion de se lancer des défis entre musiciens et musiciennes. 

Il y a deux exercices ludiques à faire avec un tel métronome.

  • Essayer de réaliser un sans faute rythmique. 
  • Utiliser la fonction « tap » pour s’approcher le plus possible du rythme donné arbitrairement par quelqu’un.

En somme, cet outil est conçu pour rendre l’apprentissage du rythme aussi pratique qu’amusant.

J’aime bien sa petite bouille ronde, et sa fonction « training ». Le Korg Beatlab Mini me donne sérieusement envie de ressortir mon cajon que j’ai un peu négligé ces temps-ci.

En soi, je n’ai pas grand-chose à lui reprocher. Évidemment, il est redondant par rapport à d’autres gadgets que je possède. Mais, ça ne mérite pas que je dégrade sa note de 8/10 sur l’échelle de piments. 

Joue-nous quelque chose ! (la playlist EDC*)

Quand on est guitariste, on est parfois gratifié d’un « Joue-nous quelque chose ! ». Pour certains et certaines, cette situation est un drame. Un moment de « strac », un pic de stress suivi d’un pic de trac. Voici quelques réflexions pour créer une playlist EDC.

Joue-nous quelque chose ! OK, mais quoi ?

L’EDC, ou EveryDay Carry, désigne les objets que l’on porte sur soi tous les jours pour faire face aux besoins de la vie de tous les jours. Cela inclut généralement des éléments essentiels comme les clés, le téléphone, le portefeuille, et parfois des outils supplémentaires comme un couteau, une lampe de poche, ou un stylo. Je propose d’y ajouter une mini playlist.

Joue-nous quelque chose !

Forcément, le minimum est de jouer un morceau. Idéalement, évitez d’enchaîner les 15 intros de morceaux connus que vous avez dégrossi. J’ai testé pour vous, c’est nul à faire, et à écoute. Evitez les 5 morceaux mal dégrossis que vous ne connaissez qu’à moitié et que vous ne finirez pas.J’ai testé pour vous aussi, en public et c’est un très mauvais souvenir). 

Comme l’Opinel dans la poche, ayez au moins une lame prête. Définissez à l’avance quel morceau répondra au mieux à cette demande. Choisissez un morceau fort, que vous maîtrisez très bien… mais aussi un morceau qui illustre bien votre personnalité musicale. Une reprise peut être un bon choix, à condition qu’elle en dise autant sur vous que sur l’interprète original. Il faut que par arrangement ou appropriation, on vous sente derrière l’original. Sauf si votre personnalité est d’être un super interprète à l’identique, évidemment. 

Vous

 
  1. Émotion : Le morceau doit être capable de transmettre des émotions fortes. Qu’il s’agisse de joie, de mélancolie ou d’énergie, l’essentiel est de toucher le public immédiatement.

  2. Technique : Choisissez un morceau qui démontre (un peu) vos compétences techniques. Cela pourrait inclure des passages rapides, du fingerpicking complexe ou des accords difficiles ou de la simple musicalité bien conduite.

  3. Mélodie mémorable : Une mélodie accrocheuse et facile à retenir aide à laisser une impression durable.

  4. Dynamisme : Intégrez des variations de dynamique et de rythme pour garder l’intérêt du public tout au long du morceau.

  5. Engagement visuel : Si possible, choisissez un morceau qui vous permet de bouger et d’interagir visuellement avec le public. L’aspect visuel peut renforcer l’impact de votre performance.

  6. Accessibilité : Optez pour un morceau qui peut plaire à un large éventail de personnes, pas seulement aux amateurs de guitare.

Joue-nous autre chose !

J’ai toujours trouvé que le bon nombre était « UN » ou « TROIS ». Avec trois morceaux, on peut parfaitement brosser un petit tableau de sa personnalité musicale. Un morceau qui sert d’accroche, un morceau à contrepied du premier pour illustrer une autre facette. Une sorte de champ, contre-champ. Un morceau dynamique, suivi d’une ballade. Et pour finir, une reprise ou un arrangement d’un ou d’une autre artiste pour finir la visite du petit Zoo de notes.

Joue-nous quelque chose !

Voici quelques pistes pour le choix des morceaux :

  1. Diversité du répertoire : Choisissez des morceaux qui montrent différentes facettes de votre jeu. Par exemple, un morceau mélodique et émotionnel, un autre plus rythmé et énergique, et un troisième qui met en valeur votre technique de fingerpicking.

  2. Progression et dynamisme : Pensez à l’ordre des morceaux pour créer une dynamique. Commencez par un morceau accrocheur pour captiver immédiatement l’audience, suivez avec quelque chose de plus doux et émotionnel, et terminez sur une note haute et mémorable.

  3. Interaction avec le public : Entre chaque morceau, prenez un bref moment pour parler à votre public. Partagez une anecdote sur le morceau suivant, pourquoi vous l’avez choisi, ou une petite histoire personnelle. Cela crée une connexion et rend la performance plus engageante, même si elle est courte.

  4. Varier les tonalités : Si possible, choisissez des morceaux dans différentes tonalités pour ajouter de la richesse sonore à votre performance.

  5. Maîtrise technique : Chaque morceau devrait mettre en valeur une compétence différente. Par exemple, un morceau avec des accords complexes, un autre avec des arpèges rapides, et un dernier avec des harmonies intéressantes.

Et si on ne me pose pas la question ?

C’est très bon pour la mémoire, la technique, la musicalité, la confiance en soi et j’en passe, car cela implique évidemment d’amener un minimum de trois morceaux au niveau « concert ». Appris en entier, sans faute de rythme.

Si vous débutez, c’est un très bel objectif. C’est aussi un bon exercice d’échauffement ou d’étirement quand on répète. On fait tourner sa mini-setlist, si possible avec une projection mentale vers la prestation en public pour gérer la qualité et anticiper le trac. Et c’est une bonne préparation pour les scènes ouvertes également. 

DDMF audio : plugins VST dans Windows

Depuis quelque temps, je me suis lancé dans une quête pour trouver une solution permettant d’intégrer des plugins audio directement dans mon signal audio Windows sans avoir à utiliser mon logiciel de traitement audionumérique habituel.

Mais pourquoi faire ?

Cette recherche était motivée par plusieurs raisons. Tout d’abord, je souhaitais installer un plugin de correction acoustique (ARC de IK Multimedia) afin de compenser les défauts acoustiques inhérents à mon bureau. Ces imperfections ont certainement un impact négatif sur la qualité sonore de mes traitements d’enregistrements et de mes écoutes.

Ensuite, je voulais pouvoir explorer et jouer avec mes contrôleurs TC Helicon, expérimentant ainsi de nouvelles configurations sonores et créatives. Même si évidemment mettre une grosse réverberation sur un mix fini ne fait pas beaucoup de sens, jouer de l’EQ ou du compresseur reste intéressant. 

Un autre avantage majeur de cette démarche était l’utilisation possible de plugins munis de VU mètres et d’analyseurs de signal pour mieux comprendre et ajuster les niveaux, le mixage et le mastering de morceaux qui me plaisent particulièrement. Ces outils offrent une visualisation précieuse des paramètres audio.Cela facilite les ajustements précis et la compréhension des dynamiques de la musique.

Et comment faire ?

Pour réussir cette intégration, j’ai compris qu’il était nécessaire d’installer une sorte de câble virtuel dans le chemin du signal de mon système d’exploitation. Ce câble logiciel devait s’insérer dans la chaîne du signal, permettant ainsi de glisser les plugins avant de renvoyer le son traité vers la carte son.

J’ai testé plusieurs solutions, mais sans grand succès, je dois l’avouer. Les logiciels essayés n’étaient pas toujours compatibles ou ne répondaient pas à mes attentes en termes de stabilité et de qualité sonore. Certains nécessitaient l’installation de plusieurs logiciels à chaîner et se révélaient instables et compliqués à configurer. D’autres solutions visaient plus l’enregistrement du son pour des podcasts plus que l’amélioration de l’écoute.

Ce que je cherchais devait plus ressembler à un rack où brancher mes effets.

Enfin un logiciel qui fonctionne !!

Déterminé à trouver une solution efficace, j’ai décidé de retenter l’expérience avec la solution Virtual Audio Stream de DDMF. J’ai d’abord mené quelques essais fructueux avec la version démo. J’ai réussi à dériver le son de Windows et à charger mes plugins dans le système. Malheureusement, dans un premier temps, le son ne semblait pas affecté par les réglages des plugins. J’étais un peu déçu. Arrivé à la fin de la version démo et encouragé par quelques résultats positifs, je suis passé aux choses sérieuses et ai décidé d’acquérir la version complète.

Si je peux améliorer le son dans mon bureau pour moins d’une cinquantaine d’euros, pourquoi pas. C’est moins cher que du traitement acoustique ou une solution hardware. Mais, les débuts avec la version complète ont été un peu compliqués, je dois le reconnaître. Le deal était clair, je me donnais les 30 jours de réflexion pour faire fonctionner le tout, sinon remboursement.

ok ok, ça tape un peu dans le rouge, mais je m’amusais juste à essayer de faire crasher le truc…

Mais, on y est arrivé avec l’aide du SAV !

Cependant, après quelques désinstallations et réinstallations, et grâce à l’aide précieuse du support technique, j’ai finalement réussi à résoudre les problèmes rencontrés. Ma méconnaissance du signal audio entre Windows et ma carte son SSL2+ ne m’a pas aidé. Le son semblait toujours emprunter un chemin parallèle. Le support technique a été réactif et précis m’aidant à chaque étape pour configurer correctement le logiciel. C’est l’avantage de payer pour ses trucs. J’ai enfin pu trouver le bon chemin pour affecter le signal sortant. Maintenant, j’entends les manipulations que j’applique.

Ca marche !

Il me suffit de sélectionner le DDMF Virtual Audio Stream comme si il s’agissait de mon périphérique de sortie audio. Ensuite, je charge un profil de plugins, même pas besoin de redémarrer l’ordinateur.

Jusque-là, le logiciel prend tous mes plugins sans souci, même quand je me lâche un peu sur leur nombre. Il est possible d’enregistrer les profils créés. Je vais me créer des configurations d’écoute et des configurations de traitement du signal. Mon seul regret est qu’il faille désactiver la protection de l’intégrité de la mémoire de Windows pour que le driver du logiciel fonctionne. Microsoft n’est pas vraiment fan des logiciels qui viennent se greffer dans le chemin de ses drivers. Mais, apparemment, une solution est en cours de développement, si j’en crois les forums.

Maintenant, je peux pleinement profiter des fonctionnalités offertes par mes plugins, tout en pouvant d’améliorer la qualité sonore de mon environnement de travail. Il me reste à refaire les mesures de mon bureau pour appliquer la correction du plugin ARC sur mes écoutes.

Ça vaut un très bon 9/10 sur mon échelle de piments. Ce sera le 10/10 si le problème de protection de l’intégrité de la mémoire est réglé :