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Je suis un fan tardif de Renaud, j’avoue. Le verlan, les idées courtes sous des cheveux longs et le keffieh parfumé au patchouili n’avaient pas trop cours chez moi. Ma maman trouvait Renaud un peu trop vulgaire à son goût. J’ai d’abord découvert Renaud via les cousins. Puis en rencontrant mes potes au kot, je m’y suis plongé, guitare à la main. La teigne, Manu, la blanche, la doudou et j’en passe … et Morgane de toi.
Halala, que de souvenir avec cette chanson … qu’est-ce-qu’on a pu la chanter (ou la massacrer, selon notre degré d’ébriété) avec ma Takeharu devant une bière avec les poteaux.
J’suis morgane de toi, de twaaaaaaa-aaahaaaaa !
En toute amitié, je me permets de reposter cette photo d’archive. J’ai une larme de nostalgie au coin de l’oeil. Ou alors c’est le rire qui me fait plisser les yeux en voyant nos dégaines. Du temps où « le rital » avait des cheveux, moi, le « Dave », quelques kilos en moins et où « le rossé » était moins argenté. On s’est bien améliorés depuis, surtout ma guitare. Ce morceau était un vrai « skète braguette ». (d’ailleurs je pense que ma braguette est skètée sur la photo).
Tu sais ma môme que j’suis morgane de twaaaaaaaa !
Bref, je me suis rendu compte que je n’avais jamais écrit la tablature de l’intro et du joli petit pont de ma version perso de ce morceau.
Au départ j’avais prévu de consacrer l’épisode 10 de mon podcast au TC Electronic PEQ 3000 DT et TC Electronic DYN 3000 DT, parce qu’il y avait beaucoup à raconter après quelques semaines d’utilisation.
Finalement ce sera un article. La raison de ce changement ? La semaine passée c’était le drame au studio. Un hub USB a subi une surtension et a grillé une série de périphériques (ou vice-versa, je n’arrive pas vraiment à démêler la cause de la conséquence). Ceci m’a d’ailleurs amené à faire un épisode 9,5 du podcast.
TC Electronic PEQ 3000 DT
Le TC Electronic PEQ 3000 DT est avant toute chose un plugin qui reproduit l’égaliseur des consoles MIDAS Heritage 3000, comme le nom l’indique. C’est un égaliseur paramétrique qui peut contrôler jusqu’à 12 bandes. Les bandes peuvent être utilisées en cloche, en plateau et en passe-haut ou passe-bas. Il peut être utilisé en mono, en stéréo, en M/S eou en gauche/droite.
TC Electronic PEQ-3000-DT (image TC Electronic)
Le nom du produit contient une indication supplémentaire, et c’est là que ça devient intéressant. Le DT signifie « desktop ». Le plugin existe dans une version avec un contrôleur USB 2.0 dédié. Complètement propriétaire et dédié, c’est-à-dire que ce contrôleur ne contrôlera qu’un seul plugin. Le contrôleur dispose d’un écran TFT couleur de 2,4″ petit mais très lisible, de potards rotatifs sans fin et de boutons. Le contrôleur mesure environ 4 × 5 × 13,5 cm. La finition en métal est qualitative et les boutons donnent une bonne impression à l’utilisation.
TC Electronic PEQ-3000-DT
Mais pourquoi s’embêter avec ça ?
Personnellement c’est surtout le contrôleur qui m’a attiré. Les fabricants de logiciels audio s’ingénient à tout faire rentrer dans l’ordinateur, y compris des simulations d’amplis et de microphones, et voilà que je m’échine à vouloir en sortir. Drôle d’idée, non ?
Un des problèmes des plugins c’est le skeuomorphisme. Le s’quoi ? Le skeuomorphisme définit un élément de design dont la forme n’est pas directement liée à la fonction, mais qui reproduit de manière ornementale un élément qui était nécessaire dans l’objet d’origine. Bref, les plugins ont des boutons rotatifs sur un écran qui sont parfois difficiles à manipuler à la souris. Pour une illusion de gestion analogique du son alors qu’on pourrait ajuster les paramètres dans un tableur Excel. En regardant l’écran on perd un peu de spontanéité.
Ici, avec le TC Electronic PEQ 3000 DT, une fois mon paramètre sélectionné, je me contente de tourner les boutons pour sélectionner la fréquence, le gain et le Q de chaque bande d’EQ, par exemple. Simplement à l’oreille. Il permet d’ajuster la phase pour des scénarios à micros multiples. J’ai pu m’en servir sans même jeter un oeil dans la notice
Je m’en sers notamment pour le montage vidéo où je dois souvent jouer sur le bruit de fond dans les basses fréquences, l’intelligibilité d’une voix ou le souffle des micros des caméras. C’est un gain de temps appréciable, dans un domaine où le produit fini n’attend pas.
Pour moi c’est aussi un moyen d’apprentissage sur le tas. Je tripote les boutons du TC Electronic PEQ 3000 DT et si le résultat me plaît j’ai appris quelque chose. En me focalisant sur un seul plugin simple . Si un jour je cherche un autre caractère sonore, je peux encore toujours puiser dans la vaste bibliothèque de plugins disponibles.
Des regrets ?
Mon seul regret est qu’il n’est pas possible de relier les contrôleurs les uns aux autres pour réduire la consommation de ports USB. J’en possède trois, outre le PEQ 3000 DT, j’ai un compresseur/gate et une reverb. Il existe un rack pour relier jusqu’à 8 contrôleurs et les concentrer sur un seul port USB. Mais ce concentrateur est excessivement cher à mon goût.
Evidemment, ma gadgetophilie parle un peu derrière tout ça. Le TC Electronic PEQ 3000 DT, petit, mignon, solide, bien pensé, pratique… avec un gain de temps et des choses à apprendre. J’adore.
Le chanteur Arno nous a quitté. Je lisais que les cendres de ce natif d’Ostende seront dispersées en mer du Nord. Quoi de plus beau que l’infini pour accueillir quelqu’un d’aussi grand. J’avais depuis un moment les premières notes d’une de ses plus belles chansons sous les doigts.
En quelques notes, cette chanson est reconnaîssable entre toutes. Alors pourquoi ne pas lui rendre un modeste hommage avec un petit arrangement de cette mélodie magnifique.
Voyez cet arrangement comme une petite appropriation mélodique sans grande prétention de complétude. Pour cette raison, je n’en revendique pas la paternité. Si vous voulez accompagner le chant, il vous faudra sans doute restructurer les briques un peu brutes et nues que je vous propose.
Sous la tablature vous trouverez un petit lecteur qui vous permettra d’entendre la tablature telle qu’elle est écrite. C’est juste pour le plaisir de partager quelques notes en mémoire d’Arno.
C’est un enregistrement généré par Guitar Pro, c’est un peu brut de décoffrage aussi, mais ça vous donne la direction du résultat à atteindre.
Je vais me permettre un petit écart par rapport à la musique pour vous parler d’un accessoire photo/vidéo. C’est un tout petit pas de côté, car pour un artiste en 2022, la photo et la vidéo font partie de l’inévitable travail de promotion et d’autopromotion. Plus précisément je vais vous parler d’un trépied de la marque Peak Design.
Peak Design, le trépied ultime ?
Je suis fan de Peak Design
C’est plus fort que moi. Je suis un grand fan de cette marque qui a le don de créer la hype autour de leur produits. Leurs premiers produits ont été crowdfundé, et depuis lors, ils ne cessent de proposer des accessoires classes et bien pensés. Un peu comme Rode en ce qui concerne le podcasting, ils ont l’art de trouver les détails qui facilitent la vie. Je possède déjà quelques sacs de cette marque (un sling, un tote et un sac à dos, ainsi qu’une tech pouch assez géniale, rien que çà) et des supports pour porter sa caméra à la ceinture ou sur les bretelles d’un sac à dos. Mais je n’avais encore jamais mis la main sur leur travel tripod.
Pourquoi ce trépied et pas un autre
La légende marketing veut qu’ils soient repartis d’une feuille blanche pour créer ce trépied. L’idée était de le rendre aussi compact que possible. Ce qui fait la différence ce sont toutes les petites idées intégrées à l’objet qui le rendent super agréable à utiliser.
Il existe dans une version carbone, plus légère et plus rigide, pour l’usage intensif. Ici c’est la version aluminium que j’ai peu prendre en main.
La compacité
Sa housse élégante, mais surtout solide et résistante à la pluie (y compris les fermetures éclair) protègera le trépied de l’eau et de la saleté. Ce trépied est conçu pour pouvoir être glissé dans un sac à dos. Mieux, si votre sac à dos possède une poche pour mettre une gourde ou une bouteille d’eau, il y entrera sans souci. Il ne pèse qu’un kilo et demi. Sans doute pas le plus léger, sans doute pas celui qui vous accompagnera en haut du Mont Blanc, mais un compagnon aussi à l’aise à la ville qu’à la campagne.
Peak Design, le trépied ultime ?
Il trouvera sa place dans le porte gourde d’un vélo ou attaché sous le cadre, grâce à ses points de fixation. Une discrète poignée de transport facilite sa manipulation, Et cette housse protégera également votre sac ou vos objets personnels du contact rude du métal.
Peak Design, le trépied ultime ?
Mais il ne faut pas se laisser tromper par la petite taille du trépied replié. Une fois déplié c’est un géant. Il passe de 39 cm à 1 m 60.
Peak Design, le trépied ultime ?
Cette compacité est due à une tête de type « ball » hyper compacte parfaitement ajustée avec le reste du trépied. Il peut également se configurer au ras du sol pour du packshot ou de la macro. En inversant la colonne dans le trépied, on peut même se placer littéralement au ras du sol. Un niveau à bulle permet de verifier l’horizontalité.
Peak Design, le trépied ultime ?
C’est vraiment un bel objet à manipuler. Tout est précis et tombe sous les doigts.
D’une seule main
Le trépied se manipule quasiment d’une seule main. Les pieds s’ouvrent avec des clips. Il suffit d’ouvrir le nombre de clips désirés, puis de laisser faire la gravité. La colonne centrale permet de faire l’ajustement de la hauteur finale. Les pieds sont garnis de patins en caoutchouc antidérapants compatibles avec toutes les surfaces. Une option avec des piques en métal existe pour les applications en tout-terrain.
Peak Design, le trépied ultime ?
La tête du trépied peut se manipuler avec le pouce pour attacher, détacher l’appareil, libérer ou fixer la rotation sur le ball. Ceci permet de garder une main sur l’appareil pour les réglages et la sécurité.
Peak Design, le trépied ultime ?
Les bonnes idées
Outre la compacité et la housse, ce trépied est truffé de petites idées géniales.
Il est livré avec des clés Alen pour resserrer les vis. L’air de rien, c’est utile de pouvoir mettre un petit coup de vis quand une des attaches ne se bloque plus de manière sécurisée. Un autre outil caché dans une poche en haut de l’étui permet le démontage des pieds pour un entretien plus poussé.
Peak Design, le trépied ultime ?
Le support caméra est une plaque au format Arca, ce qui le rend compatible avec d’autres accessoires de la marque, mais aussi avec d’autres trépieds. Et cela rend également le trépied compatible avec d’autres accessoires couramment utilisés en photo.
Peak Design, le trépied ultime ?
Et enfin, la cerise sur le gateau, dans la colonne, sous le crochet destiné à recevoir un lest en cas de vent, se trouve un petit gadget bien utile en 2022.
Peak Design, le trépied ultime ?
Une fois déclipsé en opérant un quart de tour, le crochet libère un petit objet en métal qui se déplie pour devenir un support pour smartphone. Le parfait studio mobile, avec votre caméra ou votre smartphone. Moi j’adore cette agilité.
Peak Design, le trépied ultime ?
Conclusion
Je ne peux que difficilement contester que je partais avec un apriori favorable concernant ce trépied. Pour toutes les raisons évoquées ci-dessus, je lui donne un 9/10 sur mon échelle de piments. Si il était un rien moins cher, il aurait pu frôler la note maximum.
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