On connaissait la détestable manie des productions qui fonctionnent par type … et produisent des imitations, comme des Rihanna-like ou des Shakira-like (par exemple) pour gratter un peu de succès dans la période qui suit l’explosion de la popularité d’un artiste.
Maintenant, sur iTunes et Spotify certains petits malins jouent à brouiller les pistes avec des noms de groupes, de titres (ou d’albums !) ou carrément des reprises (pas toujours de bon goût) de groupes connus. Un peu comme ces sites internets qui ratissent des visites sur des fautes de frappe, ils comptent sur la distraction des « iTunautes » ou les failles des systèmes de classement pour se faire une petite vente.
Idem pour les vidéos YouTube, où on gagne du click avec du « pretended porn » ou du « pretended erotism » … une vignette avec un bikini ou une paire de fesses, et hop quelques clicks de gagnés.
C’est comment dire, … minable ?
Allez hop, pour vous remercier d’être venu, un petit porno à 15 balles (moi aussi je peux le faire)…