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Ces albums qui ont changé ma vie

Certains albums de musique prennent une place importante dans nos vies. Au fil des années, ils deviennent les pierres angulaires de périodes de nos existences qui nous ont modelé. Voici ceux qui ont bercé ma vie et que je garde contre mon coeur, même si je ne les écoute pas souvent. 

Simon & Garfunkel – Concert in Central Park

Simon & Garfunkel - The Concert in Central Park

Simon & Garfunkel – The Concert in Central Park

A tout seigneur, tout honneur, cet album a vraiment eu une influence déterminante dans ma vie. Un ami de mes parents me l’avait prêté. Quand je l’ai rendu (à regret), il me l’a copié sur une cassette. Cette cassette a tourné dans ma chambre et dans mon kot pendant que j’étudiais. Je ne m’en suis jamais lassé et il est devenu mon raccourci pour “la zone”, cet état mental simultanément détendu et très concentré qui me permettait d’enquiller les innombrables heures d’étude nécessaire à la réussite de mes études. Le revers de la médaille c’est que je ne l’écoute que quand j’ai besoin d’un moment de travail efficace. 

C’est un live enregistré en 1981 dans le fameux Central Park de New York, devant plus de 500 000 personnes ! Simon et Garfunkel, se sont retrouvés pour ce concert historique après s’être séparés en 1970.  Ils ont joué leurs plus grands tubes, comme “The Sound of Silence”, “Bridge Over Troubled Water” et “Mrs. Robinson”, avec une énergie et une spontanéité incroyables ! Cet album est empreint d’une authenticité, d’une fraîcheur incroyable, en ce compris quelques pains ou faux départs au chant ou à la guitare. 
 
L’album a été un succès, avec des ventes impressionnantes et des critiques élogieuses. Il a même été certifié disque de platine aux États-Unis !  Il a permis de collecter des fonds pour la restauration du Central Park, qui était un peu à la dérive à cette époque.

Jacques Stotzem – Last thougth before sleeping

Jacques Stotzem - Last thougth before sleeping

Jacques Stotzem – Last thougth before sleeping

Évidemment, vous ne serez pas étonnés de trouver un album de Jacques dans cette liste. Ma rencontre avec Jacques Stotzem a précédé ma rencontre avec sa musique. J’ai fait sa connaissance dans un magasin en achetant ma première guitare. De fil en aiguille, fasciné par sa musique, j’ai assisté à quelques concerts et je me suis bien sûr procuré les vinyles de ses compositions.

Au fil des années, j’ai usé trois ou quatre de ces vinyles qui tournaient en boucle sur ma platine. Je m’étais fixé comme objectif de jouer un morceau de cet album un jour. Ce fut fait avec “Sporting Elixir”, même si l’élixir n’était sans doute pas tout à fait le même que l’original. De même avec l’album “Training” dont j’ai joué le titre éponyme à une époque.

The Cure – la trilogie des albums sombres

La trilogie des albums sombres : Seventeen Seconds / Faith / Pornography.

La trilogie des albums sombres : Seventeen Seconds / Faith / Pornography.

Bien sûr, en bon fan, je sais que la trilogie officielle selon Robert Smith inclut plutôt “Bloodflowers”, mais pour moi ça restera toujours la dark trilogy “Seventeen Seconds / Faith / Pornography”. En effet, ces trois albums ont accompagné mes sombres années d’adolescents. Ces années taillées comme des falaises escarpées entre bonheurs everestiens et abimes insondables de douleur exquise. Le seul groupe dont je me considère vraiment fan et que j’ai enfin vu en concert après tant d’années à les admirer.

La Trilogie Sombre de The Cure est composée de leurs albums Seventeen Seconds (1980), Faith (1981), et Pornography (1982). 
 
Seventeen Seconds a été le premier album de cette nouvelle direction musicale pour The Cure. Robert Smith, le chanteur et leader du groupe, a déclaré que cet album était “un grand bond dans l’inconnu”. Il a exploré des thèmes sombres comme la solitude et la perte, avec des chansons comme “A Forest” et “M”.
 
Faith a poursuivi dans cette direction sombre, avec des chansons comme “The Funeral Party” et “All Cats Are Grey”. Cet album a été décrit comme “un voyage dans les profondeurs de l’âme humaine”. 
 
Pornography a été le point culminant de cette Trilogie Sombre. Cet album a été enregistré dans des conditions difficiles, avec des tensions au sein du groupe et des problèmes de santé mentale pour Robert Smith. Il a exploré des thèmes comme la dépression, la toxicomanie et la mort. Les chansons comme “One Hundred Years” et “The Hanging Garden” sont des classiques de ce genre sombre.
 

N’hésitez pas à commenter pour me parler de vos madeleines de Proust ou de la BO de votre propre traversée du temps.

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