Vingt-neuf octobre deux mille seize, sept heures du mat’, le brouillard dilue les contours de l’autoroute E25. Il n’y a pas que les feux arrière des voitures qui émergent du brouillard, pas mal de souvenirs aussi. Bon, on dirait l’entame d’un mauvais roman, mais c’est touchant de repenser à mon premier stage, il y a 31 …