Je vous ai fait une petite prise en main de GP6, voici quelques réflexions complémentaires.
J’ai réalisé mon premier travail un peu conséquent avec le logiciel: un ré-encodage d’une tablature d’un morceau du révérend Gary Davis: Death don’t have no mercy. (un léger mal de dos m’empêche de jouer et d’enregistrer et je comptais sur le module RSE pour me faire un enregistrement pour mes élèves).
[audio: https://guitar.vanlochem.be/audio/Death_dont_have_no_mercy.mp3 |titles=Death don’t have no mercy|artists=Reverend Gary Davis]Alors ? Ben alors, je suis assez content … 🙂
L’interface est agréable, même si à l’une ou l’autre reprise j’ai pesté pour retrouver des options qui ont changé de place (ex: affichage des accords dans la tablature). Pour le reste, la vitesse de création est toujours là.
L’outil d’insertion d’accords est plus performant qu’avant, et le fait d’afficher les accords créés sur le côté pour une réutilisation rapide est un vrai bonheur.
L’utilisation d’une feuille de style permet progressivement d’adapter le rendu à vos goûts.
On peut afficher les mentions pour les pulling-of et les hammer-on, mais je ne suis pas satisfait par ce gros P qui plane au-dessus des lignes. Je voudrais un P.O. au dessus de la petite ligne de ligature. Question d’habitude, mais je ne voudrais surtout pas de confusion avec les indications de doigté (ex: dans un trait de solo avec des H.O. et P.O. en alternance pouce-index)
On peut placer les mesures précisément, ce qui permet de gagner une page (vous savez, celle où se met bêtement la dernière mesure).
Avoir un RSE stable permet d’écouter, de réécouter le travail en cours sans craindre une plantage (combien de fois n’ai-je pas perdu une grosse demi heure de boulot de cette façon). Les effets et la personnalisation permettent de sortir un son correct (c’est agréable pour vérifier la tablature). Le rendu/export en wav se fait en accéléré, ce qui est un agréable gain de temps.
Le rendu en pdf est propre et sans histoire.
Jusqu’ici, je ne regrette pas la mise à jour.