Les trésors insoupçonnés de ce site !

Ce site recèle des petits trésors pour vous faciliter la vie. Visite guidée !

trésorTout en haut de cette page, une série de boutons vous permettent de vous abonner rapidement aux profils dont je dispose sur divers réseaux sociaux: ma page Facebook de musicien, mon compte Twitter @davanlo_guitar, ma chaine Youtube et mon tableau Pinterest (notamment un tableau reprenant une carte avec tous les endroits où j’ai déjà eu le plaisir de jouer).

A droite, l’incontournable moteur de recherche.

Sur la page principale, un déplacement de souris vous permet de lire tous les articles à la suite, sans cliquer. Le site se chargeant d’affiches les suivants quand vous êtres en bas de la page. En dessous de chaque article, des boutons pour partager les articles sur vos profils (si vous voulez me soutenir activement, c’est une des meilleures choses à faire) et sous l’article, quelques mots-clés pour afficher d’autres articles et la possibilité de laisser un commentaire.

Le menu des pages de ce site se passe de commentaires, à l’exception de quelques menus (!) détails … la page la plus importante pour moi est l’agenda des concerts intitulé Dates. Sur la page de cet agenda, vous pourrez très simplement ajouter un événement à votre calendrier en cliquant sur la petite croix située sous la date. Mieux encore, juste sous le calendrier, vous pouvez vous abonner pour recevoir toutes les dates dans un flux RSS ou via un calendrier iCal.

Si vous cherchez des images haute résolution pour une annonce ou un flyers, elles se trouvent à part sous le menu photos, avec un petit outil qui permet de les assembler dans une archive zippée plus pratique à télécharger.

Un petit rappel des prochaines dates à venir figure dans la colonne de droite, juste au dessus du bouton d’accès à un formulaire pour recevoir les annonces de concert par mail. Pour ne pas spammer les gens, je ne signale pas tous mes concerts via ce canal, que je réserve aux concerts gratuits, aux premières parties aux duos où lorsque je me rends dans un endroit en Belgique où je joue plus rarement.

Juste dessous, vous trouvez un rappel pour vous abonner à mes vidéos sur YouTube ! Quelques extraits des tweets de mon compte Twitter, les vignettes des gens sympathiques qui ont liké ma page Facebook.

Quelques images au hasard de mes galeries photos, que je vous invite à visiter, ça commence à être bien garni par là !

J’ai regroupé quelques citations à propos de mon travail, glanées dans la presse ou sur des sites spécialisés.

Et pour finir, une liste de billets récents et la possibilité de vous abonner à mon site pour recevoir chaque nouvel article dans votre boite mail, si vous ne souhaitez pas mettre mon site dans les favoris de votre navigateur !

Bonne visite !

Hey mec, faut que t’arrêtes les vidéos de 12 minutes !

OLYMPUS DIGITAL CAMERAC’est trop long à l’époque d’Internet, ça ne convient pas pour la promo, ce n’est pas bon sur un site.

Mais moi j’aime ces souvenirs des soirs de concert, et seul le temps aide à trier ses souvenirs. Un peu de blabla, des rires, de la musique, des entrées en scène, des notes de résistance, quelques touches sucrées en dessert, des applaudissements. Capturer des instants différents, un rock, une reprise, une ballade, des ambiances. Ça prend vite quelques minutes en vidéo.

Comment résumer toute une soirée en 3 minutes ? Parce que oui, j’en conviens, c’est un mauvais format, tous les livres sur le marketing musical l’expliquent en long et en large. Les vidéos, comme les chansons doivent durer 3-4 minutes max.

Mais je ne veux pas vous faire écouter un morceau (d’ailleurs je ne les mets pas en entier). Je voudrais donner un arrière-goût du concert à ceux qui y étaient, et un avant-goût à ceux qui n’y étaient pas, en espérant que ça leur donnera l’envie d’en être une prochaine fois.

Voici, rien que pour vous (et un peu pour moi), 12 minutes d’une belle soirée de 120 minutes …

Blondes, brunes, rousses, le « Music Beer Lovers’ Tour » au El Señor Duck Napo Estaminet

OLYMPUS DIGITAL CAMERAMusic Beer Lovers’ Tour, Beer Lovers’ Music Tour  … j’ai dû m’entraîner pour arriver à dire « le Music Beer Lovers’ Tour au El Senõr Duck Napo Estaminet » sans mélanger tous les mots … j’avais un peu tendance à dire « Beer Lovers’ Music Tour ».  

Bref, un événement conviant les zythophiles noctambules mélomanes à découvrir, pendant les soirées de deux weekends, un bar, une bière et un artiste. En ce qui me concerne, l’El Señor Duck Napo Estaminet servait d’écrin à la Moinette blonde (la bière) et à moi-même (l’artiste).

Arrivé en ville, il y a une circulation de fou. Je renonce à l’idée de tourner pendant une demi-heure pour trouver une place gratuite et devoir porter le matériel sur plus d’un kilomètre dans les rues de Liège. Direction le parking payant, et tant pis pour la quinzaine d’euros à soustraire du cachet. Le parking à Liège coûte plus cher qu’à Monaco, pour un service pourtant incapable de fournir une application web donnant un aperçu des places disponibles sur l’ensemble de la ville. Bref, positivons, je me gare à une centaine de mètres, dans un espace éclairé et sécurisé. Malheureusement, il est impossible de prendre les transports en commun avec le matériel pour les concerts.

Quand j’arrive dans l’estaminet, une troupe d’étudiants étrangers chante et rit, chauffés à la bière – de la Guillotine à la Moinette, ils sont pompettes, rient et chantent.

L’installation est assez rapide, on est rodé, comme j’ai pas mal testé l’ampli, j’ai une bonne idée des réglages à adopter. Pour la voix, j’ai opté pour mon SM57, qui chauffe moins ma voix de crooner et qui permettrait à mon ami, s’il venait à passer de pousser un coup d’harmonica dans mon set. Il ne viendra pas, mais je m’y attendais.

Première sortie pour le Fishman Soloamp, revenu d’entre les amplis morts. J’étais un peu stressé, cet ampli a connu une avarie majeure, et malgré la réparation, ma confiance n’est pas encore rétablie à 100%. J’ai lutté contre l’envie de prendre mon Loudbox 100 « juste au cas où ». Pourtant, je l’ai testé, j’ai joué amplifié plein de fois, à la maison, je l’ai laissé branché une journée, pour voir … Je n’aime pas cette sensation que je n’ai jamais eu avec le 100 (mais les pannes ça peut arriver, et se promener avec deux amplis, ce n’est pas réaliste).

Montage terminé ...

Montage terminé …

La configuration du bistrot se prêtait bien à cet ampli (scène minuscule, un mur devant la scène à hauteur de cuisses et des mezzanines qui ne reçoivent pas bien le son d’un combo, très (trop) directionnel). Le Soloamp bénéficie d’une bonne projection (heureusement, parce que il n’a pas été possible de se brancher dans la sono maison). Mais cette projection a un prix, il manque un peu de punch (littéralement de pression acoustique), d’où une impression de son très propre mais « fin' » malgré de bonnes basses. Ma Lovely Roadie dirait: comme une peinture un peu lisse, alors qu’on aime des aspérités, des coups de pinceaux, des excès de peinture … bref, léger manque de « grain », de rugueux.

On s’occupe des formalités administratives, Sabam, contrat … le patron est réglo, c’est un vrai bonheur. Les étudiants ivres partent. Une bonne nouvelle pour le concert, mais du coup il fait bien vide. Pas de nouvelles des amis qui voulaient venir me voir. Je mange un bout et je lance quelques textos en bouteille à la mer. Mais la nouvelle mode est d’arriver à l’heure à laquelle le concert doit commencer. Du coup, on commence plus tard, et les gens viennent encore plus tard. Cette soirée ne déroge pas à cette nouvelle règle du savoir-vivre en sorties, et les gens arrivent enfin. Une jolie rousse, quelques amis de longue date, des connaissances de mes folles soirées liégeoises, des habitués qui viennent pour le bistrot, des amateurs de musique, des amateurs de bière et beaucoup d’amateurs des deux.

Le concert débute. Pendant les premiers morceaux, quelques retardataires montent à la mezzanine en passant par le côté de la petite scène ce qui est légèrement perturbant, j’avoue. C’est aussi le trajet des toilettes, même si en redescendant, ils attendent poliment la fin d’un morceau, dans mon angle mort, comme je les vois arriver par le balcon, je me demande « passera – passera pas ? ».

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Le patron insiste pour qu’au quotidien dans son établissement, la musique n’oblige pas à hausser la voix quand on boit un verre, gage d’une belle convivialité. J’approuve et j’apprécie car du coup le public est très à l’écoute des présentations et de la musique. Le premier set est vraiment sympa entre ragtime, rock acoustique, ballades et reprises. Ma composition « Entre chien et loup » crée un bel instant d’émotion, et pour la première fois quelqu’un m’avoue avoir eu la larme à l’œil.

Je termine mon set par un inédit tout à fait dans l’esprit de cette soirée « Have a beer », clin d’œil aux bons moments passés entre amis devant des bières.

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Pendant la pause, j’en profite pour saluer connus et inconnus dans la salle. Personne ne s’est enfui en courant pendant la pause. Les commentaires sont flatteurs. J’aurais aimé avoir des CD à vendre, hélas, il n’est pas encore prêt.

A l’entame de la seconde mi-temps, je constate que la bière fait son effet et que le volume des conversations monte d’un cran. Je ne me lance pas dans une course à l’armement et au volume, perdue d’avance. Plus on joue fort, plus les gens parleront fort. Mais malgré tout, les gens écoutent les morceaux et pendant les annonces, les regards et les sourires des tables du fond m’indiquent que la communication musicale et verbale passe malgré tout.

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Le concert se termine et j’ai droit à deux rappels.

Je peux enfin me boire une Moinette … légère, amère pour désaltérer, un peu de fruit et un peu d’épice pour le palais. Très bonne. On démonte, ma Lovely Roadie va nous chercher une Pita au coin de la rue. J’ai faim, du coup « ça me goûte bien » comme on dit à Liège.

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Après quelques discussions d’anciens combattants de la guindaille autour d’un nombre non-communiqué de Moinettes (les chiffres varient fort selon les manifestants ou la police), il est grand temps de rentrer pour libérer notre grand-père-babysitter sans oublier de s’acquitter des douze euros cinquante (!) de parking. 

 

Setup scénique, matos et amplification (toutes mes variantes)

J’ai continué l’exercice des petits diagrammes de mes setups habituels. Ce n’est pas une fiche technique, plutôt un exercice théorique sur mes trajets de cable et le matériel minimum nécessaire dans chacune des configurations.

Le choix de la configuration dépend de la nature du concert, de la taille et de l’acoustique de ‘endroit et du temps de jeu.

Tout d’abord mon setup standard, sans doute mon préféré, parce que c’est le plus simple.

Rig-diagram-Loudbox

Le setup pour les duos, les soirées contes & guitare ou quand l’envie de chanter et jouer d’autres instruments me prend.

Rig-diagram-multi

Le setup pour la puissance et la projection sonore, pour les salles plus grandes et celles où l’acoustique est problématique.

Rig diagram SoloAmp

Rig diagram SoloAmp