Mon ancien casque est cassé, c’est l’occasion d’investir un peu. Je voulais un casque neutre, avec des très bons aigus, du confort (et un look décent).
Idéalement pour enregistrer la guitare acoustique, je devrais prendre un modèle fermé, mais je ne les supporte pas très bien, alors j’ai opté pour un modèle semi-ouvert. l’AKG 240 MkII. Il est peut-être un peu « too much » par rapport à mes ambitions, mais un bon casque ça dure des années quand on en prend soin.
Par l’intermédiaire de mon ami Luc, j’ai eu la chance d’être invité à l’inauguration du SOS recording studio.
J’ai y bu un vin blanc et un rouge, mangé quelques chips, côtoyé le gratin de la musique liégeoise. J’y ai participé à une tombola, mais, hélas, je n’y ai rien gagné (pourtant un petit clavier midi ou un casque m’aurait bien dépanné). J’y ai vu Thomas Fiorini jouer un set basse/voix époustouflant.
J’ai pu admirer des locaux superbes … le magasin est beau et accueillant avec son bar des musiciens. Dans le studio j’ai eu du mal à ne pas mettre de la bave partout. J’ai piqué quelques images de leur site (avais oublié mon appareil photo), le studio est magnifique. Un endroit qui donne vraiment envie de monter en puissance pour faire de la musique à haut niveau.
Bon, pour mes achats de matos Digi, mes softs et hardwares, et un jour, qui sait, mon mastering et mes duplications je sais quelle porte pousser à Liège.
Succeeding in Music
Je viens de me commander deux livres. Le premier « Succeeding in music » 2 ed. – John Steinberg. aborde les stratégies des projets musicaux.
Je me doute que la partie business ne pourra coller avec la Belgique et ses tracasseries (ex: droits de reproduction mécaniques, autoproduction).
Je vous raconterai …
L’autre livre parle des techniques d’enregistrements (micros, mixage, …) spécifiques à la guitare acoustique …
Soit dit en passant ...
« … dans la composition, la connaissance doit disparaître de la conscience. » (lu cette semaine dans un livre)
Il ne faut pas faire quelque chose dans un morceau parce que ça se fait, mais parce que ça se justifie par le morceau.
Pas « cela se justifie dans un morceau » mais « cela se justifie pour le morceau »
